Enmai dernier, la société spaceX avec leur projet Starlink a développée et mis en ligne une carte interactive permettant de suivre leur satellites en orbite autour de la terre, Satmap. L’objectif du projet est l’accès à Enfévrier 2009, la collision entre un satellite russe abandonné et un satellite d'Iridium Communications Inc a laissé quelque 1.500 débris fonçant autour de la Terre à 7,7 kilomètres par Elleorbite autour du Soleil en 365,256jours solaires —une année sidérale— et réalise une rotation sur elle-même relativement au Soleil en 23h56min4s —un jour sidéral— soit un peu moins que son jour solaire de 24h du fait de ce déplacement autour du Soleil. Laxe de rotation de la Terre possède une inclinaison de 23°, ce qui Installerdes satellites en orbite autour de la terre sur globe gps dispositif avec carte boussole ville navigation signalisation. Illustration à propos illustration - 250921207 Illustration à propos illustration - 250921207 Commela Terre tourne sur elle-même, nous voyons défiler le ciel comme si nous étions sur un manège : tout le ciel paraît tourner au fil des heures, autour d’un point voisin de l’étoile Polaire (au centre de la carte). Ceci provoque les “levers” et “couchers” des astres. De plus, la course de la Terre autour du Soleil nous fait découvrir une portion de ciel différente selon Estce que les satellites tournent autour de la Terre? Actuellement, 2 630 satellites actifs sont en orbite autour de la Terre. La plupart d’origine russe (soviétique) et américaine. A ces engins s’ajoutent environ 7 000 objets, coiffes et réservoirs de fusées ou autres morceaux résultant de lancements de satellites ou de sondes d 3pY5B. Vous ne trouverez pas de lignes telluriques dans les manuels de géographie ou de géologie car elles ne sont pas réelles, mesurables … Les scientifiques ne peuvent trouver aucune preuve de ces lignes telluriques – elles ne peuvent pas être détectées par des magnétomètres ou tout autre appareil scientifique. Alfred Watkins et la théorie des lignes de Ley Au début des années 1920, un archéologue amateur, Alfred Watkins, suggéra au public les lignes de tellure. Watkins se promena un jour dans le Herefordshire et remarqua que de nombreux sentiers locaux reliaient les sommets environnants en ligne droite. Après avoir regardé une carte, il a vu un modèle d’alignement. Il a postulé que, dans l’Antiquité, la Grande-Bretagne avait été traversée par un réseau de voies de communication rectilignes, utilisant divers sommets et autres caractéristiques physiques comme points de repère, nécessaires pour naviguer dans la campagne autrefois très boisée. Son livre, The Old Straight Track, a été un succès dans la communauté métaphysique anglaise, bien que les archéologues l’aient qualifié de bouffante ». Les idées de Watkins n’étaient pas exactement nouvelles. Quelque cinquante ans avant Watkins, William Henry Black avait théorisé que des lignes géométriques reliaient des monuments dans toute l’Europe occidentale. En 1870, Black parle de grandes lignes géométriques à travers le pays». Deux capitaines britanniques, le capitaine Robert Boothby et Reginald Smith du British Museum, ont établi un lien entre l’apparition de lignes de retenue, des cours d’eau souterrains et des courants magnétiques. Ley-spotter / Dowser Underwood a mené diverses enquêtes et affirmé que le franchissement de conduites d’eau » négatives » et des aquastats positifs expliquent pourquoi certains sites ont été choisis sanctifiés. Il a trouvé tant de doubles lignes» sur des sites sacrés qu’il les a nommés lignes saintes». Connecter des sites autour du monde L’idée des lignes telluriques en tant qu’alignements magiques et mystiques est assez moderne. Une école de pensée croit que ces lignes portent une énergie positive ou négative. On croit également que là où deux lignes ou plus convergent, vous avez un lieu de grande puissance et d’énergie. On pense que de nombreux sites sacrés bien connus, tels que Stonehenge , Glastonbury Tor, Sedona et Machu Picchu, se trouvent à la convergence de plusieurs lignes. Certaines personnes croient qu’il est possible de détecter une ligne tellurique par plusieurs moyens métaphysiques, tels que l’ utilisation d’un pendule ou l’ utilisation de baguettes de radiesthésie . L’un des plus grands défis de la théorie des lignes de force est qu’il y a tellement d’endroits dans le monde considérés comme sacrés par quelqu’un que les gens ne peuvent pas vraiment se mettre d’accord sur les emplacements qui devraient être inclus en tant que points sur la grille de lignes de force. Radford dit Au niveau régional et local, c’est le jeu de n’importe qui quelle taille une colline compte pour une colline importante? Quels puits sont assez vieux ou assez importants? En choisissant de manière sélective les points de données à inclure ou à supprimer, une personne peut créer n’importe quel modèle il ou elle souhaite trouver. Un certain nombre d’universitaires ont rejeté le concept de lignes de force, soulignant que l’alignement géographique ne rendait pas nécessairement la connexion magique. Après tout, la distance la plus courte entre deux points est toujours une ligne droite, il serait donc logique que certains de ces lieux soient reliés par un chemin rectiligne. D’autre part, lorsque nos ancêtres naviguaient au-dessus de rivières, autour de forêts et de collines, une ligne droite n’était peut-être pas la meilleure voie à suivre. Il est également possible qu’en raison du grand nombre de sites antiques en Grande-Bretagne, les alignements » ne soient que pure coïncidence. Tout ce qui existe a de l’énergie, certaines sont des énergies physiques champs électriques, d’autres des énergies vivantes auras, d’autres sont basées sur la terre lignes telluriques et d’autres sont spirituelles des fantômes. Avec l’augmentation des rapports de hantises et de phénomènes associés dans des endroits où l’on pense que les lignes de force existent, on peut se poser la question suivante existe-t-il un lien entre ces deux formes d’énergie et si oui pourquoi? » Je suppose donc que nous devons répondre à la question qu’est-ce qu’une ligne tellurique? Tout d’abord, il convient de noter qu’il existe une distinction entre ce que l’on appelle les lignes de charge énergétique et les lignes de charge réelles. Les niveaux d’énergie sont de larges faisceaux de crises énergétiques traversant notre paysage. Ces lois sont des fractures ou des modifications de la croûte terrestre et sont affectées par la force de gravité exercée par le soleil et la lune. Les failles résultantes et les eaux libérées peuvent modifier la nature et l’intensité des énergies de la Terre. Vous trouverez également de nombreux anciens sites sacrés le long de ces limites, renforçant ainsi l’intensité du flux d’énergie. Les véritables lignes leys sont d’anciennes traces de commerçants hétérosexuels identifiées pour la première fois par Alfred Watkins dans les années 1920. Ces leys ont au moins cinq sites sacrés églises, etc. alignés situés avant la Réforme et situés à de courtes distances les uns des autres. Bien que la plupart des leys de la Terre soient positifs, mais lorsque deux de ces leys se croisent ou se croisent, un vortex d’énergie négative est alors créé. C’est comme un puissant aimant attirant toutes sortes d’esprit, d’énergie ou d’entité de vibration inférieure et même parfois de personne. Ces entités peuvent ensuite puiser de l’énergie, s’en nourrir et l’utiliser pour se manifester. La prison de Bodmin Cornouailles est un endroit où deux lignes d’énergie de ce type se croisent et forment donc des vortex d’énergie inférieure, ce qui, à son tour, affectera également le comportement des gens dans de tels endroits. Ils seront enclins ou influencés à réduire les pensées vibratoires, la paranoïa, la colère, l’ego et la peur, etc …… cela peut être une source de nourriture pour une entité qui puisse recharger son essence. On pense également que les hantises ont lieu à des endroits où se trouvent des veines souterraines d’eau, des puits couverts et des strates rocheuses susceptibles de fausser l’énergie de la Terre. Par exemple, la Terre intérieure vibre à 7,83 Hz. Lorsqu’une veine d’eau traverse, disons, 200 à 500 pieds sous terre, des lignes de contrainte pouvant atteindre 250 Hz peuvent en résulter. Cette perturbation géomagnétique choquante est ensuite reflétée sur tous les plans. Les esprits qui résonnent à la nouvelle fréquence reconnaîtront une familiarité avec la signature d’énergie et seront ensuite attirés par celle-ci. Il est prudent de souligner que cette réaction de reconnaissance d’énergie» n’apparaît que chez les esprits qui perçoivent notre réalité actuelle et qui sont eux-mêmes une énergie avec une conscience. Ce phénomène mérite également d’être pris en compte dans le fait que si une énergie positive frappe un emplacement négatif c’est-à-dire une entité habitée par une entité consciente négative ou malveillante ou un lieu ayant connu de hauts niveaux de tourments et de tragédies, il est possible que le champ énergétique de tout cet endroit pour devenir négatif. Les restes d’énergie sur ces sites négatifs deviennent alors ce que l’on appelle des flots noirs», ce qui donne à l’endroit une impression de sombre et de désagréable. On dit alors que les effets dans cette situation ne sont pas causés par un esprit mais par la présence de l’énergie négative intense. Tous les phénomènes de hantise sur les énergies ne sont pas de nature spirituelle. Comme expliqué, on pense que l’énergie de Ley produit des vibrations à une fréquence si basse que si inaudible pour l’oreille humaine peut toujours altérer nos perceptions, il peut créer des maux de tête, des nausées, des vertiges et des sensations de picotement étranges sur notre peau. Ce sont toutes les caractéristiques physiques typiques d’une supposée présence d’un esprit. Il n’est donc pas surprenant qu’il y ait un lien entre l’esprit / le renforcement psychique et les leylines. Étant donné que ces leys portent une forme modifiée du champ magnétique terrestre, c’est-à-dire un champ électromagnétique vibrant sur une fréquence totalement différente de la zone environnante, il est alors pratiquement possible pour les gens d’être témoins d’une augmentation des hantises, des voyages astraux et des phénomènes psychiques dus à ce changement d’énergie apparente. La science dit que l’énergie est toujours affectée par d’autres énergies, qu’elles soient positives ou négatives, similaires ou compatibles. Il y a des cas où l’énergie spirituelle est attirée par l’emplacement d’une vibration d’énergie terrestre similaire. Cependant, cette connexion doit encore passer le stade de la théorie, car aucune théorie scientifique connue ne reconnaît pleinement l’existence des lois de l’esprit ou de l’énergie. La science tarde à prendre note de tout phénomène qu’elle ne peut pas tester ni prouver en utilisant les lois actuelles de la compréhension. Jusqu’à présent, le sujet fait l’objet de débats et d’études approfondies. Les historiens, qui évitent généralement la métaphysique et se concentrent sur des faits, affirment que bon nombre de ces sites importants ont été placés là où ils se trouvent pour des raisons purement pratiques. L’accès aux matériaux de construction et aux moyens de transport, tels que les terrains plats et les eaux en mouvement, était probablement une raison plus probable de leur emplacement. En outre, nombre de ces lieux sacrés sont des éléments naturels. Des sites comme Ayers Rock ou Sedona n’étaient pas artificiels; ils sont simplement là où ils sont, et les anciens constructeurs n’auraient pas pu connaître l’existence d’autres sites afin de construire délibérément de nouveaux monuments d’une manière qui recoupe les sites naturels existants. COMMENT DETECTER un vortex c’est simple il suffit d’observer la forme des arbres lorsque vous verrez des arbres onduler ainsi ce sera le signe que un vortex influence la croissance de cette arbre a ces endroit, les cercles de sorcieres qui venaient faire leur magie car ce sont des portes sur le monde astrale ,passage d’entités lors de rituel dinvocation. POSER UN GESTE D'AMOUR Une contribution volontaire aide véritablement à maintenir ce site ouvert et ainsi vous devenez un Gardien Passeurs en action. CLIQUEZ ICI POUR CONTRIBUERMerci Texte partagé par les Chroniques d'Arcturius - Au service de la Nouvelle Terre Sam ZylberbergFondateur chez JeRetiensHistorien, professeur, passionné par les sciences humaines, la recherche, la pédagogie, les échanges culturels et les ailleurs. Images à télécharger Images Sentinel ESA Dans le cadre du projet Copernicus, l'ESA rassemble toutes les images acquises par les satellites Sentinel sur sa plateforme PEPS. Le visualiseur Sentinel Hub EO Browser permet d'afficher des images Sentinel, Landsat, Modis... Thematic Exploitation Platform TEP L'ESA propose plusieurs plateformes thématiques TEP pour étudier la Terre à partir de données satellitaires. Ce portail permet d'accéder à ces différentes plateformes, chacune étant consacrée à un domaine thématique régions urbaines, zones côtières, forêts, risques, sécurité alimentaire... Copernicus Open Access Hub Le Copernicus Open Access Hub anciennement connu sous le nom de Sentinels Scientific Data Hub fournit un accès complet, gratuit et ouvert aux produits utilisateurs Sentinel-1, Sentinel-2, Sentinel-3 et Sentinel-5P. Voir le blog Multitemp du CESBIO pour l'exploitation des séries temporelles Sentinel-2. Images Pléiades CNES Pléiades est un système d'imagerie spatiale à très haute résolution, capable de fournir des clichés de n’importe quel point du globe en moins de 24h. Constitué de deux satellites placés sur la même orbite, ce dispositif fournit des photographies aux acteurs civils et militaires. Les missions permettent d'avoir notamment des images récentes sur les catastrophes naturelles et sur l'organisation des secours images analysées par le SERTIT. Images SPOT Les images Spot 6 et 7 sont à télécharger sur le site Géosud du CNES après avoir rempli le formulaire d'inscription. Les images satellites Spot 1 à 5 prises entre 1986 et 2015 sont mises à disposition du public sous licence ouverte Etalab lire ce billet. Images Landsat Le satellite américain Landsat recueille des images de la Terre entière tous les 16 jours et cela depuis 1972. Les données collectées peuvent être téléchargées gratuitement sur différents serveurs de l'USGS dans les 24 heures suivant leur réception. On peut aussi les obtenir via le serveur d’images Earth Explorer cf tutoriel sur le blog SIG & territoires. Le centre Earth Resources Observation and Science EROS fournit des exemples de transformations de la surface terrestre classées par thèmes agriculture, villes, mines, barrages, risques naturels... Images Theia Le pôle de données et de services surfaces continentales Theia a été créé fin 2012 par 9 institutions publiques françaises impliquées dans l’observation de la terre et les sciences de l’environnement. Cette structure scientifique et technique a pour vocation de faciliter l’usage des images issues de l’observation des surfaces continentales depuis l’espace. Outre des données satellitaires en téléchargement, le site propose des produits thématiques sur l'occupation des sols, l'hydrologie continentale, la végétation, les risques de maladies infectieuses... OSM Landuse OSM Landuse permet d'explorer les modes d'occupation du sol renseignés par la communauté Openstreetmap. Une source de données qui commence peu à peu à devenir crédible en complément des données Corine Land Cover et de l'Occupation du sol à grande échelle OCS GE de l'IGN. Pixel Le site Remote Pixel propose un accès simple et pratique aux images Landsat-8, Sentinel-2 et CBERS-4. EOS Landviewer L'application Earth Observing System's LandViewer est un outil SIG en ligne qui permet d'avoir accès à des données de télédétection en temps réel et de pouvoir faire des analyses et des animations à partir de plusieurs images. Le site vous permet d'accéder à un catalogue d'images satellites actualisées en permanence, notamment Airbus Defence & Space, SI Imaging Services et SpaceWill. Il vous permet également de parcourir, de prévisualiser et d’acheter essai gratuit les produits Pléiades 1a et 1b, SPOT 5, SPOT 6 et SPOT 7, ainsi que KOMPSAT-2, 3, 3A et SuperView, Gaofen 1, 2 et Ziyuan-3. Global River Widths from Landsat GRWL Base de données vectorielles sur la largeur des rivières à partir d'une combinaison d'images Landsat à l'échelle mondiale. Marine Heatwave Tracker Ce site permet de détecter les vagues les plus hautes en utilisant les technologies spatiales. Données satellitaires Terr'Image Ces données, prises par les satellites Pléiades et Spot, sont diffusées dans le cadre du projet éducatif Terr'Image. Les images sont rangées par grandes régions géographiques. Chaque image est accompagnée de sa référence de commande, de sa date de prise de vue, de son format, d'une vignette de localisation. Le texte d'accompagnement précise les différentes thématiques liées à l'image. Certaines sont accompagnées d'un scénario pédagogique permettant de les mettre en perspective dans le cadre d'un cours. Sélection d'images de la NASA La NASA donne accès, à travers l'application Earth Observatory Explorer, à plus de 11 000 vues satellites intéressantes prises ces 20 dernières années. Elle propose aussi un livre d'images satellitaires, téléchargeable en version numérique sur le site Earth Observatory de la NASA qui commente chaque mois une sélection d'images. Il est possible de contempler des images et des animations de la Terre, du soleil, de la lune ou de l'univers en utilisant le portail NASA Visualization Explorer. Voir par exemple cette animation simulant la circulation atmosphérique. Sélection d'images d'Airbus Airbus Defence & Space propose une galerie d'images satellites en couleurs naturelles et haute résolution. Les images sont classées par catégories thématiques et par marchés commerciaux associés à ce type d' d'images de la Station spatiale internationale ISSIl s'agit des photos de la Terre prises par Thomas Pesquet lors de ses deux missions spatiales. Lors de sa première mission dans l’espace en 2017, Thomas Pesquet a réalisé plus de 85 000 clichés de la Terre. De nouveau dans l’ISS à partir du 23 avril 2021, il transmet à nouveau ses plus belles photos depuis l' Google Earth Engin Google a rassemblé un grand nombre de données rasters sur la plateforme Earth Engine hébergée sur le cloud. L'enjeu est de pouvoir disposer de séries spatiales et temporelles à partir d'images de diverses sources et diverses résolutions. Les images peuvent être visualisées directement à travers le navigateur Earth Engine de Google ou être intégrées à Qgis voir ce tutoriel. L'application Timelapse permet de visualiser des séries d'images satellites sur les 35 dernières années cf article de présentation. Climate Engine est plus particulièrement dédié au suivi des données climatiques. L'application Global Forest Watch cf article de présentation permet quant à elle de suivre l’évolution de la surface forestière mondiale. Earth Engine peut être utilisée également pour extraire des courbes de niveaux. GeemapCette application en ligne permet de sélectionner une zone géographique et de créer une animation à partir d'images satellites Landsat 1984 à nos jours. Le script extrait les images à partir de Google Earth Engine et fournit un gif animé voir notre billet de présentation.Vues de la Terre depuis l'espaceÀ mesure que l'imagerie et la photographie satellitaires se sont améliorées, la vue de la Terre depuis l'espace est devenue plus nette et plus détaillée. Le site Geography Realm revient sur l'histoire de cette exploration spatiale depuis SAS Planet SAS Planet est un logiciel très pratique pour importer des images satellitaires à partir de différentes sources Google Maps, Bing Maps... et les transformer en images raster utilisables dans un SIG ou un logiciel de traitement d'images satellitaires voir ce tutoriel. Images Lidar de l'IGNLe projet Lidar HD de l'IGN vise à numériser la France entière en 3D d'ici 2025 lire ce billet. Des données Lidar sont d'ores et déjà disponibles en téléchargement pour certains Images prises de la Station spatiale internationale ISS Pix Des images prises à partir de la station ISS envoyées sur Twitter et rassemblées sur un globe en 3D avec certaines vues de nuit A compléter par Blueturn Blueturn se base sur les images du satellite DSCOVR NASA situé à 1 500 000 km sur l'axe Terre-Soleil, au point de Lagrange où les forces de gravitation de la Terre et du Soleil s'annulent, de telle sorte que le satellite peut filmer la face éclairée de la Terre en permanence. Le but de cette vue animée de la Terre presque en direct est de sensibiliser les humains à la beauté et à la fragilité de notre planète. Orbite spatiale A part les satellites géostationnaires, la plupart des satellites décrivent une orbite autour de la Terre. Voici une animation qui permet de comprendre pourquoi ces trajectoires des satellites forment des lignes sinusoïdales sur un planisphère. Planet Labs Planet Labs possède une constellation de satellites basse orbite qui prennent des images en continu de la Terre voir cette animation en 3D qui reconstitue leurs trajectoires avec la possibilité de découvrir une sélection d'images. Le site propose également une galerie avec de nombreuses images satellites commentées. Les images Planet en haute résolution sont utilisées pour suivre des catastrophes ou repérer des zones stratégiques bases de lancement de missiles ou autres installations militaires.... ER-Mapper Ce logiciel propriétaire offre une version gratuite de démonstration qui permet de visualiser des images au format JPEG 2000, ECW, ER Mapper images, TIFF et GeoTIFF, SPOT, ESRI BIL, ERDAS IMG, ArcInfo ASC, PNG, USGS DEM. Plug-in Terre Image pour QGIS Ce plug-in permet d'utiliser des images satellitaires du CNES dans QGIS. Orpheo Toolbox Orfeo Toolbox est une bibliothèque pour le traitement d'images par télédétection. Le projet a été initié par l'Agence spatiale française en 2006 et est en plein développement. Une grande variété d'applications sont disponibles de l'ortho-rectification à la classification, en passant par le traitement de données SAR. Tous les algorithmes d’OTB sont accessibles depuis Monteverdi, QGIS, Python, en ligne de commande ou en C ++. OTB est disponible sous Linux, MacOS et Windows. Il est utilisé par une large communauté, extensible et très documenté. Monteverdi Monteverdi est un outil de visualisation facile à utiliser avec un rendu accéléré pour afficher des images en haute résolution optique et SAR. World Wind World Wind est un logiciel édité en Open Source par la NASA qui permet d'explorer la Terre depuis l'espace en utilisant leur base de données satellite. Usages pour l'éducation et la formation L'usage des images satellites dans l'enseignement de la géographie et des SVT a rencontré un certain succès dans les années 1990-2000 cf logiciel Titus puis Terr'images développés par le CNES. Ces images ont ensuite servi d'illustrations dans les manuels scolaires cf article La cartographie numérique est-elle soluble dans la géographie scolaire ?. Pourtant on observe un regain d'intérêt pour l'imagerie satellitaire en lien avec les nouveaux moyens offerts par la télédétection mise à disposition gratuite d'images en très haute résolution, facilitation d'usage des outils de visualisation et de traitement des images, proposition de pistes pédagogiques... Geoimage CNES Le service Education Jeunesse du CNES, en partenariat avec le Ministère de l’Education nationale et avec la collaboration du groupe Histoire et Géographie de l'Inspection Générale, propose aux enseignants et aux candidats aux concours de l’enseignement le site GeoImage. Ce site a pour but de fournir des ressources réalisées à partir d'images acquises par les satellites Pléiades, SPOT, Sentinel et Venus. Chacune de ces images est commentée et disponible librement en téléchargement. Quatre entrées sont disponibles dossiers thématiques, concours, territoires en résonance, images à la Une. Une lettre d'information permet de se tenir au courant des nouveautés et d'accéder à des dossiers thématiques. Terre images CNES Pour aller plus loin dans le traitement des images, le CNES met à disposition le site Terre images également dédié aux enseignants et aux élèves. Le projet Terr'Image repose sur l'imagerie optique des satellite d'observation à haute et très haute résolutions images satellitaires, logiciel de traitement adapté au public scolaire et exemples de séquences pédagogiques. Les utilisations pédagogiques des images du CNES ont par ailleurs fait l'objet d'une présentation détaillée au FIG de 2013. Eduspace ESA L'Agence spatiale européenne consacre également des pages dédiées à l'éducation principes de la télédétection, satellites d'observation, présentation du logiciel Leoworks... Copernicus Le programme Copernicus, anciennement GMES Global Monitoring for Environment and Security est un programme de surveillance de la Terre pour l’environnement et la sécurité, destiné à produire une vue globale et complète de l'état de notre planète. Il repose sur une politique d’accès ouvert et gratuit aux données et outils. Parmi les nombreuses applications, on peut citer le site de surveillance et de prévention des inondations European Flood Awareness System ou encore la couverture des sols à l'échelle mondiale Global Land Cover. Des images satellitaires pour l'Education Le site Educnet propose des pistes pédagogiques pour utiliser les images SPOT assez ancien Deïmos C'est un dispositif éducatif et interactif de modélisation d’orbites de satellites, disponible à partir d'un simple navigateur. Développé par l'IGN, l'outil Deïmos permet d’initier un large public aux satellites et à leurs orbites. Les satellites sont classés par type observation spatiale, géolocalisation, télécommunications,... avec des informations sur leur déplacement, leur révolution par jour et leur altitude de fonctionnement. Une documentation est mise à disposition. Imaginez une nuée d'insectes volants tournant autour d'un même noyau central. À peu de choses près, ces insectes sont nos satellites, et nous sommes le noyau central qui les attire. C'est l'image que l'on peut avoir en observant l'ensemble des satellites qui gravitent autour de notre planète. Vous en imaginez quelques centaines ? On en compte pas moins de 2 200 actifs dédiés à l'observation de la Terre. Selon le décompte de l'association américaine Union of concerned Scientists UCS, 2 218 satellites actifs exactement tournoyaient autour de notre planète en décembre dernier. Dix ans de durée de vie en moyenne Le site Celestrak permet de visualiser leur trajectoire prévue en temps réel sur la carte interactive ci-dessous. L'image semble fixe ? En réalité, chacun de ces points se déplace à plusieurs milliers de kilomètre-heure, mais la vue d'ensemble donne une impression de lenteur. Le curseur circulaire en bas à gauche permet de forcer l'accélération du mouvement en faisant défiler plus rapidement les secondes. Ouvrir la carte en plein écran Depuis décembre, ce nombre de satellites actifs a certainement augmenté il ne se passe pas une semaine sans nouveau lancement vers l'espace. Dans le même temps, certains peuvent être devenus inactifs. Leur durée de vie varie, selon leur usage et selon leur date de lancement. Le senior de la bande est le satellite Amsat-Oscar 7, toujours en activité après 45 ans de loyaux services, depuis son lancement en novembre 1974 par les États-Unis. Parmi les 2 218 satellites actifs recensés par l'UCS, on connaît la durée de vie attendue pour plus de la moitié. Moyenne 10 ans. Du côté de ceux qui ont cessé d'être utilisés, la durée de vie moyenne atteint quatre ans d'utilisation. D'une taille de voiture à la boîte à chaussures Plus de 2 000 le chiffre paraît gigantesque ? "Quelques milliers, non, ce n'est pas énorme", tempère Martin Giard, astrophysicien et directeur scientifique aux affaires spatiales du CNRS. "Prenez un parking de supermarché, vous y avez des centaines de voitures garées. Une manifestation ? Quelques milliers de personnes, ce n'est pas un grand succès. Autour de la Terre, il y a un espace très vaste, qui représente beaucoup de place". D'autant que la croissance récente du nombre de satellites en orbite terrestre est liée à de nouvelles technologies, et notamment à leur taille largement réduite. Là où les envois des dernières décennies concernaient des objets de la taille d'une voiture ou d'une camionnette, ce sont désormais des boîtes à chaussures qui sont propulsées vers le vide spatial. On parle d'ailleurs de microsatellites ou nanosatellites. Afficher le graphique en plein écran Plus de 6 000 squelettes de satellites Pour autant, la question du nombre d'objets en orbite n'est pas anodine. D'abord, parce qu'à ces 2 200 satellites actifs s'ajoutent de nombreux autres désormais inutilisés mais toujours en gravitation autour de notre planète. À ce jour, il n'est pas possible d'interrompre ce mouvement perpétuel - désorbiter, dans le langage spatial - pour détruire un satellite. D'après les données du site Celestrak, depuis le bon vieux Spoutnik de 1957, tout premier satellite envoyé dans l'espace, plus de 8 000 autres ont été lancés. Surtout, ces squelettes de satellites s'accompagnent de tout un tas de débris annexes. Ceux-ci sont issus des objets nécessaires aux lancements, ou de destructions survenues dans l'espace. Ces destructions peuvent être engendrées par une collision ou une désintégration volontaire, comme celles décidées par la Chine ou l'Inde ces dernières années. "Cela représente une multitude de fragments qui partent dans tous les sens, et cela finit par envelopper la Terre dans l'orbite basse, c'est-à-dire entre 300 km et quelque 1 000 km d'altitude", détaille Martin Giard. L'Agence spatiale européenne réalise régulièrement des représentations de ces nuées de déchets. Ils sont précisément suivis, car "il faut aussi franchir tout cela pour aller plus haut", rappelle l'astrophysicien. Télécommunication et observation Pourquoi envoie-t-on autant d'engins dans l'espace ? Les usages des satellites sont multiples, mais l'un d'eux s'impose les télécommunications. C'est ce qui a motivé les premiers envois commerciaux dans l'espace, dès les années 1960. On leur doit les fameux téléphones satellitaires, puis la télévision, qui reste un usage important pour l'instant. Cette utilisation reste le motif de leur usage commercial. Si les gouvernements étaient au départ les seuls à envoyer des objets en orbite, de plus en plus de sociétés privées opèrent en tant que prestataires d'un État ou pour plusieurs clients à travers la planète. Un autre but concentre cependant presque autant de satellites actifs l'observation terrestre. Les imageries satellites auxquelles nos yeux se sont habitués sont rendues possibles par ces objets placés en orbite basse, afin d'observer la surface de la Terre. Les usages de géolocalisation, s'ils sont importants, ne représentent en revanche pas un nombre très important de satellites. Afficher la visualisation en plein écran "C'est la première révolution industrielle de l'espace" En ce qui concerne les nationalités, près de la moitié des satellites actifs restent opérés par les États-Unis, qui en ont placé en orbite plus de 200 en 2019. Un nombre croissant des lancements émane toutefois de la Chine, à l'origine d'une cinquantaine de nouveaux satellites la même année. Viennent ensuite la Russie et le Japon. De plus en plus de projets mêlent également plusieurs nationalités. Précision nécessaire ces chiffres ne correspondent pas forcément aux nombres de lancements. Désormais, un grand nombre de satellites peut être envoyé avec le même lanceur. Ainsi, en janvier, une centaine de satellites américains Starlink ont été envoyés en orbite en seulement deux lancements distincts. "S'il n'y a actuellement que quelques milliers de satellites en orbite, c'est parce que cela coûte cher d'en envoyer. Mais les nouvelles technologies ont permis de réduire les coûts de lancement et d'envoyer des objets beaucoup plus petits", analyse l'astrophysicien Martin Giard. Pour le chercheur, le "NewSpace", comme on surnomme cette nouvelle ère, "c'est en fait la première révolution industrielle des constructions spatiales, à l'image de celle qui a touché l'automobile au début du XXe siècle, lorsque l'on s'est mis à en produire en série". Les technologies récentes, et notamment l'usage d'un lanceur réutilisable par la société américaine SpaceX, pleinement opérationnel depuis 2017, démultiplient l'envoi d'objets.

carte des satellites autour de la terre